Discussion:Grades de l'Armée française

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

20 octobre 2006 à 22:27 (CEST)J'ai corrigé les définitions des grades de généraux d'armée et de corps d'armée. Je ne sais d'où venait cette information, en tout cas elle est visiblement fausse (cf. : Grades dans la Marine selon le Ministère français de la Défense). --Hasting 15 juillet 2005 à 10:42 (CEST)[répondre]

Je ne les ai corrigées que pour l'armée de terre, et le ferai bientôt pour les autres armes si je ne suis pas contredit entre temps. --Hasting 15 juillet 2005 à 11:03 (CEST)[répondre]

Tu es contredit ;-). Le dernier statut des militaires fait clairement état de la position des généraux de corps et d'armée [1] : Les généraux de division, les généraux de division aérienne et les vice-amiraux peuvent respectivement recevoir rang et appellation de général de corps d'armée, de général de corps aérien ou de vice-amiral d'escadre et de général d'armée, de général d'armée aérienne ou d'amiral. . Cornelis 15 juillet 2005 à 16:25 (CEST)[répondre]

Adjudants[modifier le code]

"Dans la cavalerie, l'adjudant-chef est appelé « Mon lieutenant » par les grades inférieurs, mais « Mon adjudant » par les grades supérieurs"

Il me semble que seuls les subordonnés utilisent le « mon » avant le grade. Il faudrait d'ailleurs préciser comment on s'adresse aux femmes militaires. Apokrif 14 septembre 2005 à 23:34 (CEST)[répondre]

C'est faux ! Le "mon", qui est la contraction de "monsieur le" est utilisé par les subordonnés et les supérieurs. Par exemple, un adjudant (masculin) sera appelé par un caporal ou par un capitaine "mon adjudant". 37.171.119.71 (discuter) 29 mars 2024 à 15:29 (CET)[répondre]
Du calme Notification 37.171.119.71 :. Vous avez raison sur la contraction de "Monsieur" mais Apokrif n'a pas totalement tort non plus quand il dit que seuls les subordonnés utilisent le "mon". En effet, en situation de supériorité hiéarchique, on peut omettre celui-ci. De plus je ne suis pas sûr que déterrer ainsi une discussion de 2005 soit très utile... --PMMESJ (discuter) 29 mars 2024 à 16:33 (CET)[répondre]


La tradition dont il est question n'est valable que dans l'arme-blindée-cavalerie. On appel un Adjudant-Chef "Mon Adjudant-Chef", qu'on ait un grade supérieur ou inférieur. Par ailleurs, certes, les adjudants et les adjudants-chef peuvent commander une section (36 personnels) ou plus souvent être chef de section adjoint. Mais ce n'est pas courant. Etre adjudant ou adjudant-chef implique un minimum d'ancienneté, donc des capacités physiques pas tout à fait comparables à celles d'un jeune Lieutenant. La pluspart du temps, mis à part les armes d'élites ou l'instruction, on retrouve les adjudants et les adjudants chefs à la tête des services (secrétariat, restauration, munition, soute). Chaque compagnie possède un adjudant d'unité, chargé de la bonne marche des locaux.--Th0mas 9 novembre 2005 à 15:39 (CET)[répondre]

Les grades subalternes tout comme les grades supérieurs appellent les femmes gradées par l'appellation de leur grade : "exemple : adjudant" ou "capitaine" sans employer le "mon" précédent le grade. Il est admis de les appeler également "madame". (message laissé par 80.125.117.107 sur ma page perso) Apokrif 1 décembre 2005 à 20:05 (CET)[répondre]

En ce qui concerne l'appelation des femmes, officiers ou sous-officier, ce sont tous les personnels, supérieurs et subordonnés qui appellent les adjudants et adjudant-chefs par leur grade en omettant le "mon". Petite précision quant aux appelations : tout supérieur peut appeler un subordonné par son grade, son nom et son grade, ou son nom uniquement (source : TTA 150 manuel du sous-officier de l'armée de Terre). davric 05 avril 2006

Précision historique s'il en était le mon accordé à certains grandes (adjudant, adjudant-chef, lieutenant, capitaine, chef d'escadron ou commandant, lieutenant-colonel, colonel et toute la frange des généraux tient pour la contraction de monsieur. Alors bien évidemment il ne s'applique pas aux personnels féminins disposant de tels grades et la féminisation (excessive) de notre belle langue nous permet de dire adjudante, lieutenante...). Quant aux officiers de marine ils n'ont plus l'appellation mon sur décision de Napoléon suite à Trafalgar. Me trompé-je ?

Gendarmerie[modifier le code]

  • Existe-t-il des armées, corps d'armée... dans la gendarmerie, comme la formulation de l'article le laisse supposer ? (on dirait en fait un copier-coller de « armée de terre »).
  • Qu'en est-il des grades dans les diverses branches de la gendarmerie: maritime, aérienne...?
  • Quels galons portent les élèves des écoles d'officiers et de sous-officiers de la gendarmerie ?

Apokrif 14 septembre 2005 à 23:39 (CEST)[répondre]

Réponses : question n° 1 : Il existe des généraux d'armée, de corps d'armée... mais les unités correspondantes sont articulées différemment. En Gendarmerie Départementale (de l'unité de base à l'unité la plus haute) : - La brigade : commandée par un adjudant ; - La compagnie : commandée par un capitaine ou un chef d'escadron ; - Le groupement : commandé par un lieutenant-colonel ou un colonel ; - La région (appellation depuis 2005 à la place de légion) : commandée par un colonel ou un général de brigade ou de division pour les régions les plus importantes. Cette dernière est placée directement sous l'autorité du Directeur Général de la Gendarmerie. N'oublions pas que la gendarmerie départementale française comprend des grades issus de la cavalerie et par conséquent de l'armée de terre. Précision par --TempsX 19 janvier 2006 à 22:08 (CET) jusqu'à la 1ère guerre mondiale, la gendarmerie n'était qu'un bureau d'arme de la Cavalerie, ce qui explique à la fois la similitude dans l'appellation des grades et la couleur blanche des galons (hormis la mobile et la garde républicaine)[répondre]

Question n° 1 : Beaucoup des exemples donnés sont vrais mais en gendarmerie nécessité a toujours fait loi. C'est ainsi que de toutes petites brigades peuvent avoir un maréchal des logis-chef à leur tête, voire pour un intérim parfois assez long un gendarme officier de police judiciaire. De plus depuis le PAGRE (plan d'adaptation des grades aux responsabilités exercées) nous trouvons sur des brigades importantes ou à la brigade mère des communautés de brigade des lieutenants issus du corps des sous-officiers mais aussi maintenant de jeunes officiers tout droit issus de Melun. Quant au compagnie nous en trouvons certaines, au regard d'éléments objectifs, commandées par des officiers supérieurs jusqu'au grade de lieutenant -colonel. Pour les groupements je ne connais effectivement au maximum que des colonels.


question n° 2 : Concernant les grades de la gendarmerie maritime ou de la gendarmerie de l'air, ils sont d'apparence identiques aux grades des armes pour lesquelles la gendarmerie est placée pour emploi mais les appellations sont celles de la gendarmerie. Précision par true_cricket : Les grades de la gendarmerie maritime sont argent et non or, comme le sont ceux de la Marine Nationale.

Désolé de porter la contradiction, mais les insignes de grade de la gendarmerie maritime sont les mêmes que ceux de la marine nationale. Les appellations sont celles de la gendarmerie. Les personnels affectés en gendarmerie de l'air portent, eux, des galons semblables à ceux de l'armée de l'air, mais argentés. --Mangouste35 21 octobre 2006 à 00:21 (CEST)[répondre]

Exact pour la couleur (or) des galons de nos flicmars et aussi pour l'appellation qui n'a lieu que depuis 1970, date de rattachement de cette formation spécialisée à la gendarmerie nationale. Leur patron, u colonel basé actuellement à Houilles est placé pour emploi auprès du chef d'état major de la marine nationale. Avant cela gendarme maritime' était une spécialité de la marine nationale. Pour monter en grade il fallait alors satisfaire au cursus marine nationale avec les Brevets d'Aptitude Technique et autres Brevets supérieurs pour monter en grade. Pour l'apparence les galons des gendarmes maritimes sont identiques à ceux des grades correspondants de la marine nationale à l'exception d'une grenade dans l'ancre pour tous les grades sauf major et (je ne suis pas sûr) pour les officiers. De plus les casquettes sont identiques sauf pour les gendarmes (maréchaux des logis) qui sont les seuls à garder la bande d'élite.

question n° 3  : les galons portés par les élèves officiers de la gendarmerie sont celui du grade d'adjudant-chef (1 galon blanc au centre duquel se trouve un petit liseré rouge) Précision par --TempsX 19 janvier 2006 à 22:13 (CET) les élèves officiers ne portent pas le galon "d'adjudant-chef" mais directement "l'alpha" puis ils portent "l'alpha" correspondant au grade d'aspirant (appelé "mon lieutenant") il s'agit d'un galon ayant la forme de la lettre grecque du même nom. En fin de cycle, le galon attribué est celui de sous-lieutenant (un galon blanc). A la sortie de l'école des officiers de Melun, les officiers sont promus au grade de lieutenant (double galon blanc) avant d'être affecté en unité. Concernant les élèves sous-officiers, ils ne portent aucun galon jusqu'à environ la mi-stage (durée totale 1 an). A cette période ils se voient attribués un galon doré en forme de chevron rayé d'un liseré rouge). A la fin du stage, le sous-officier porte le chevron blanc (gendarmes départementaux) ou doré (gendarmes mobiles ou gardes républicains). Les galons de la gendarmerie sont porté sur un support de type "scratch" (pour ne pas citer de marque) au niveau de la tenue de combat ou du polo d'intervention. Le galon est également porté sur des fourreaux de pattes d'épaule pour les autres effets de service courant. Au niveau de la tenue de cérémonie, les galons figurent sur le bas des manches de la vareuse ou de la tunique. Précision : Sur les fourreaux noirs (officiers et sous-officiers de gendarmerie) devant les grades on retrouve la grenade surmontée d'un double chevron pour la gendarmerie départementale et la gendarmerie mobile sauf pour la garde républicaine où il n'y a aucun chevron au-dessus de la grenade. Sur le pantalon bleu de cérémonie les officiers portent une double bande noire sur la longueur des jambes avec un petit liseré noir au milieu des deux bandes. Les sous-officiers ne portent qu'une simple bande noire sur les jambes de pantalon. Les gendarmes adjoints ne portent qu'un pantalon bleu uni. Ces bandes n'existent plus sur le pantalon d'intervention bleu marine qui ressemble à un pantalon de tenue de combat.[répondre]

Petite précision concernant les galons d'officier : l'Alpha est porté par les élèves-officiers (1e année de formation) et le galon de sous-lieutenant (1 barrette blanche) par les officiers-élèves (2e année de formation). Jcaunes (d) 16 août 2011 à 21:35 (CEST)[répondre]

A ma connaissance[modifier le code]

Précision par TempsX, offcier des armes -- On en parle pas d'armée en gendarmerie, mais de direction (il n'existe pas d'état-major mais un e direction générale). Ensuite, je em demande si le plus haut gradé de la gendarmeire n'est pas géné de division, ensuite y aurait dc plus rien.

Précision d'un sous-officier de gendarmerie en activité : Depuis 2005, les Légion de Gendarmerie qui s'articulaient au niveau d'une région administrative sont dénommées "Région". Elles peuvent être sous le commandement d'un colonel ou d'un général (celui-ci étant plus fréquemment un général de brigade "2 étoiles"). Quant à la 2ème partie de la question, le grade le plus élevé dans la gendarmerie correspond à celui de général d'armée. Il correspond actuellement à la fonction de Directeur Général de la Gendarmerie.

Petite précision d'un officier supérieur de gendarmerie en activité. Les grades sont identiques dans les armées Terre Air et Mer puisqu'ils sont définis par le statut général des militaires, communs à tous. Seules les appelations changent. S'agissant des officiers généraux, le dernier grade est celui de général de division. Pour les 4 et 5 étoiles, ce sont des "appellations". Actuellement il y a deux généraux d'armée en gendarmerie : le directeur général et l'inspecteur général des armées - gendarmerie


APPELLATIONS = Dans cette page fort bien documentée ,il serait dommage de ne pas apporter quelques ajouts utiles = --Pour les médecins militaires , -dans l'Armée de Terre,l'Armée de l'Air,la Gendarmerie,on les appelle indifféremment : Docteur , ou encore par leur grade "Mon Capitaine...Mon Colonel... -Dans la Marine ,également Docteur mais vieille coutume toujours usitée : "Monsieur" ou encore "Monsieur le Médecin"


/

INSIGNES d'ASPIRANT= Quant aux insignes du grade "incertain" d'Aspirant: dans la Marine en tout cas ,ces derniers portent sur la manche un "Galon à sabords" ,c'est donc un galon de sous-lieutenant ou d'Enseigne de vaisseau de 2e classe,lequel est barré de "traits" verticaux aux couleurs de la spécialité./


/

à propos des symboles[modifier le code]

Il serait peut-être pertinent d'indiquer ou se trouvent les symboles (chevrons, barettes, etc...) physiquement sur la personne qui les porte. Et peut-être qu'il serait également interessant de faire une représentation du "carré de 5x5 cm au milieu de la poitrine" ?

"hiérarchie médiévale générale"[modifier le code]

"Le SEA comporte des sous-officiers et des officiers du corps technique et administratif (OCTASEA), qui ont les galons et appellations de la hiérarchie médiévale générale" je suppose qu'il faut lire "hiérarchie générale" ? Apokrif 23 décembre 2005 à 16:58 (CET)[répondre]

Est-ce que "bosco" est actuellement employé pour désigner un grade de la marine nationale ? Apokrif 23 décembre 2005 à 16:59 (CET)[répondre]

Caporaux-chef pompiers de Paris[modifier le code]

D'après http://www.protectioncivile.org/ressources/grades.htm, les caporaux-chefs de la BSPP ont pour insigne trois chevrons rouges, et non 2 rouges+1 doré. Idem d'après http://spompier.ifrance.com/etrepompier.html , mais on ne sait pas bien si les photos de galons concernent les pompiers civils ou bien la BSPP. Ajout: [2]

Effectivement, les CCH de la BSPP portent ne portent pas de chevron doré, mais exclusivement des chevrons rouges. davric

étant CCH pompiers de paris il faut faire trois différence la première le caporal chef a trois barrette rouge la deuxième le caporal chef titulaire du CM1 a deux barrette rouge et une doré la troisième le caporal chef a trois barrette rouge plus comme tout autre militaire du rang de plus de 15 ans de service une doré

Commandant et chef d'escadron[modifier le code]

Chef d'escadron commande habituellement une compagnie ou une section de recherche, ou adjoint au commandant de groupement

commandant de la gendarmerie mobile 
commandant de la gendarmerie départementale 

N'y a-t-il pas eu un mauvais copier-coller, qui fait apparaître un commandant là où, comme le dit la première phrase, on attend un chef d'escadron ? A préciser: dit-on "(mon) commandant" à un chef d'escadron ? Apokrif 13 mars 2006 à 14:37 (CET)[répondre]

  • A vérifier, je ne suis pas dans l'artillerie, mais je pencherais effectivement pour "mon commandant". En tout cas, ça n'est certainement pas "mon chef d'escadron(s)", et "chef d'escadron(s)" serait bien le seul officier à qui l'on ne dise pas "mon".. De toute façon, statutairement le grade est identique, et dans la marine on dit bien "lieutenant" à un enseigne de vaisseau, ou "commandant" à un officier supérieur, ce n'est pas choquant que l'appelation soit différente du grade..

Y'a-il un biffin pour confirmer ?

Même si je ne suis pas biffin, je confirme : un chef d'escadron (dans l'artillerie), tout comme le chef d'escadrons (de la cavalerie) et le chef de bataillon s'appelle "mon commandant". Eric 4 avril 2007 à 20:13 (CEST)[répondre]

les tricornes des personnels féminins de la Marine ne portent pas leur grade ( à leur grand dam), en revanche le tricorne porte le coeur de quete caractéristique de leur corps ( officier , officier marinier , equipage). Depuis l'instruction du 29 janvier 2008 (BOC du ministère de la défense du 28 mars 2008) le tricorne des Officiers de Marine féminin porte l'insigne de grade. Un insigne de grade métallique est porté sur le rebord du tricorne en feutre bleu, sur le coté gauche. Cette barrette de grade doit être portée de la manière suivante : - son milieu doit être à 10 cm de la pointe du tricorne ; - elle est centrée dans la hauteur du rebord.

Gendarmes[modifier le code]

J'ai ajouté un lien sur la gendarmerie, est-ce que quelqu'un peut vérifier/compléter, par exemple pour ce qui concerne les majors et les élèves gendarmes ? D'autre part, faut-il ajouter les catégories de gradé et gradé supérieur (mais d'après le lien, les brigadiers ne seraient pas des gradés, il me semble qu'ils le sont dans l'armée de terre), et un maréchal des logis volontaire n'est pas un sous-off ?) Apokrif 21 avril 2006 à 00:35 (CEST)[répondre]


Les brigadiers (ou brigadiers chefs) ne sont pas des sous-officiers et ce quelle que soit l'armée ou l'arme.

Un maréchal des logis volontaire est, quant à lui, sous-officier tout comme un aspirant volontaire est officier

Commandants aux galons jaunes dans la cavalerie ?[modifier le code]

Dans les explications qui concernent les commandants, il est mentinoné que dans certaines unités de cavalerie, les commandants arborent les galons dorés. Serait-il possible à l'auteur de donner des exemples (ou de citer une unité) car jusqu'alors je n'ai encore jamais rien vu de tels, excepté au 13e Régiment de dragons parachutistes qui est un régiment interarmes de par son recrutement. Eric 27 avril 2006 à 13:40 (CEST)[répondre]


Les officiers et sous-officiers du régiment de spahis portent tous des galons dorés (sauf les adjudants, évidemment) --Mangouste35 20 octobre 2006 à 17:02 (CEST)[répondre]

Hommes de troupe et hommes du rang[modifier le code]

Quelqu'un pourrait-il confirmer ou infirmer l'appartenance des caporaux (et caporaux-chefs) aux hommes du rang et/ou aux hommes de troupe: extrait de Discussion catégorie:Grande école/Suppression :

« Concernant les militaires, les hommes de troupes ne sont pas gradés (par définition même),  »

« http://www.defense.gouv.fr/sites/terre/decouverte/personnels/grades/les_grades_de_larmee_de_terre/ : «caporal est un chef dizenier (chef d’une dizaine d’hommes). Gradé d’un rang inférieur» TLFi : « GRADÉ, -ÉE, adj. et subst. A. ARM. (Soldat) qui est pourvu d'un grade, particulièrement d'un grade inférieur » Le site du ministère classe les caporaux dans les hommes de troupe, mais il faudrait vérifier s'il n'y a pas une confusion entre hommes de troupe et hommes du rang (j'ai cherché rapidement sans trouver de texte officiel, vous auriez une référence ?) Cela dit, il semble que dans la gendarmerie on dise "gradé" seulement à partir de maréchal des logis-chef; mais dans ce cas comment appelle-t-on les GAV brigadiers et brigadiers-chefs ? »

Apokrif 8 août 2006 à 17:53 (CEST)[répondre]

  • Pour commencer, les caporaux et caporaux-chefs font bien entendu partie des hommes du rang (ou troupe). Cela dit, le terme gradé pour les différencier des 1ere classe ou 2ème classe est courant, et figure dans le le Larousse comme tel. La première phrase peut porter à confusion. En fait quand on désigne les caporaux comme gradés, c'est en les comparant aux 2ème et 1ère classe. Mais bien sûr ils ne sont pas pas sous-off, ne sont pas des gradés "lourds".

Thomas  8 août 2006 à 19:06 (CEST)[répondre]

    • Je me souviens qu'en 1979, quand j'ai fait mon service militaire, on m'a proposé de rejoindre le "Peloton des élèves gradés", ce qui m'a valu d'être nommé caporal après 7 mois de service, caporal-chef après 9 et sergent PDL au bout de 11. On peut donc penser que les caporaux et caporaux-chefs sont des "gradés". --Delio 9 mars 2007 à 15:12 (CET)[répondre]


Reprenons tout... Un gradé est un militaire qui possède un grade, mais l'appellation ne correspond pas à une catégorie précise. Ainsi, dans l'armée de terre on parle de "gradés" ou de "petits gradés" pour les caporaux, caporaux-chefs et assimilés, alors que dans la gendarmerie le terme est utilisé pour désigner les MDL/chefs, adjudants et adjudants-chefs.
En fait, le statut des militaires est partagé en deux catégories principales :
  • les officiers, qui sont propriétaires de leur grade (depuis une loi de Charles X, si je ne m'abuse) : ils ne le perdent jamais, même retraités, sauf démission ou radiation et
  • les personnels non-officiers. Ces derniers sont répartis en deux catégories : les sous-officiers et les militaires du rang (autrefois hommes du rang, mais féminisation obligeant... l' appellation a changé).
Pour faire simple: la hiérarchie militaire est la suivante suivante (les appellations dans l'armée de mer ou marine nationale sont différentes mais correspondent aux mêmes grades) :
  • Maréchaux de France et amiraux de France
  • Officiers :
    • Officiers généraux (général de brigade, général de brigade aérienne ou contre-amiral et général de division, général de division aérienne ou vice-amiral, ces derniers pouvant recevoir rang et appellation de général de corps d'armée, général de corps d'armée aérienne ou vice-amiral d'escadre et de général d'armée, général d'armée aérienne ou amiral)
    • Officiers supérieurs (de commandant ou chef de bataillon ou d'escadron ou d'escadrons ou capitaine de corvette à colonel ou capitaine de vaisseau)
    • Officier subalternes (de sous-lieutenant ou ensigne de vaisseau de deuxième classe à capitaine ou lieutenant de vaisseau.)
  • Aspirants
  • Sous-officiers ou officiers mariniers (corps des majors et sous-officiers autres que les majors) :
    • Sous-officiers (*Majors, 'forment corps), et adjudant-chef ou maître principaladjudant ou premier maître)
(sergent ou second-maître et sergent-chef ou maître, avec le grade intermédiaire de gendarme pour la gendarmerie)
  • Militaires du rang :
    • de soldat (terme légal générique pour soldat, canonnier, artilleur, cavalier, marsouin, bigor, chasseur, sapeur, transmetteur, conducteur, aviateur, etc. selon les armées et les armes) ou matelot à caporal-chef ou quartier-maître de 1ère classe (ou brigadier-chef, même remarque que pour les soldats). Il n'y a pas de 2ème classe (sauf à la SNCF ou dans le métro !) mais un soldat peut recevoir la distinction de 1ère classe, qui n'est pas un grade.
L'appellation "homme de troupe" n'a pas d'existence réglementaire. On parlait de "la troupe" pour désigner les exécutants, de "la troupe" pour désigner la force armée (faire donner la troupe) voire même de "troupe" pour désigner le tabac qu'on distribuait gratuitement, puis pour une somme modique, aux militaires... (Les dernières cigarettes ne s'appelaient d'ailleurs plus "Gauloises" avec la mention "troupe", mais "Vente restreinte" le célèbre casque gaulois étant remplacé sur le paquet bleu par un casque Adrien surmontant une ancre de marine et des ailes).
Une pique (gentille !) à Delio : J'ai encadré des pelotons d'élèves gradés et des pelotons d'élèves sous-officiers en régiment : Les premiers étaient nommés caporaux au 4è mois et les sergents vers le 6ème mois. Sur un service militaire de 12 mois, il n'aurait pas été rentable pour nos impôts de nommer des sergents PDL au 11ème mois. Soit les générations des années 80 étaient meilleures que celles des années 70, soit Delio était mauvais !!! lol !
Mangouste35 9 mars 2007 à 16:29 (CET)[répondre]
Je prends la pique à deux mains et la retourne. Delio était (et est toujours) une grande gueule. Ce qui lui a valu d'être major du PEG et dernier nommé... ;) --Delio 20 mars 2007 à 16:30 (CET)[répondre]
Et bien cette réponse (la précédente en fait) me semble exhaustive à ceci prêt que je serais tenté d'y apporter deux bémols :
1/ Je n'ai jamais entendu dire que les majors (qui ne forment plus un corps à part entière, mais font partie de celui des sous-officiers) allaient disparaitre ; même s'il est vrai que les conditions d'accès au grade sont en pleine (r)évolution et que le concours devrait être remplacé par un examen, ils ne sont pas en voie d'extinction ;
2/ et si l'expression de "sous-officier subalterne" est quotidiennement employée pour désigner les sergents et sergent-chefs dans l'armée de Terre, elle semble abusive. On n'en trouve aucune trace, ni sur le site de la défense, ni sur le TTA 150, et sa simple évocation faire bondir de rage mon chancelier ainsi que mon PSO...
Ceci-dit, si d'aventures, quelqu'un avait une référence précise sur le sujet, je serai bien évidemment preneur. Eric 20 mars 2007 à 21:23 (CET)[répondre]
1- Jusqu'à présent, les sous-officiers de carrière (de l'armée de terre et des autres armées ou services) constituaient deux corps, le corps des majors, recrutés par concours ou au choix (dans la limite de 35% des nominations annuelles) et le corps des sous-officiers autres que les majors, recrutés parmi les sous-officiers sous contrat. C'est le corps des majors qui va disparaître, et non pas le grade de major.
Pour information, le corps des majors qui comporte le grade unique de major, devait à l'origine en comporter deux, major et major "principal" ou une appellation similaire. Ce projet n'a pas été retenu.
2- Les appellations de "supérieurs" ou "subalternes" ne sont pas dans les dispositions statutaires des sous-officiers (je ne sais pas si les statuts particuliers faisant suite à la loi du 24 mars 2005 portant statut général des militaires sont publiés), mais sont sans doute employées pour faire un parallèle avec celles des officiers. Les seuls degrés employés pour répartir, dans leur grade, les sous-officiers autres que les majors dans les statuts particuliers applicables aux sous-officiers étaient les "échelles" 2, 3 et 4 (à l'exception des MDL/C, adjudants et adjudants-chefs de gendarmerie tous classés à l'échelle n° 4 en raison de leur qualification professionnelle particulière). Mangouste35 4 avril 2007 à 17:17 (CEST)[répondre]

Demande d'aide pour identifier un grade de 1914[modifier le code]

Bonjour! Un spécialiste des grades militaires pourrait-il m'aider à identifier précisément le grade de ce militaire en 1914, à savoir 6 chevrons sur la manche? Et combien y avait-il de grades entre le sien (que je connais pas) et celui de lieutenant? Merci.--Greguar 21 décembre 2006 à 13:41 (CET)[répondre]

Bonjour.
A priori il ne s'agit pas d'un grade, mais de chevrons d’ancienneté de présence (portés au bras gauche). On attribuait aux militaires de tout grade un chevron pour une année effective de présence dans la zone des armées, et un chevron supplémentaire pour chaque nouvelle période de six mois.
Il existait aussi des chevrons de blessure, portés au bras droit.
Les chevrons étaient en forme de V renversé or ou argent selon l’arme pour les officiers et sous-officiers et en laine ou coton bleu foncé, placé sur le milieu du haut de la manche de l’effet, pour les caporaux ou soldats. Sur les effets de combat ces chevrons étaient pour tous en drap, laine ou coton bleu foncé. Mangouste35 21 décembre 2006 à 14:51 (CET)[répondre]
Bonjour Mangouste35! Merci pour ces informations, mais ça n'est pas rassurant ça. Si je comprends bien, le militaire sur la photo pourrait être un soldat de 2ème classe avec 6 ans d'ancienneté? J'espérais qu'il aurait un grade du genre Sergent, cela aurait simplifié mes recherches...--Greguar 21 décembre 2006 à 15:06 (CET)[répondre]
En effet, on ne voit aucun insigne de grade au bas des manches. Donc ce doit bien être un soldat, avec 3 ans et 6 mois d'ancienneté. Mangouste35 21 décembre 2006 à 15:20 (CET)[répondre]
Merci! Le problème c'est que le soldat en question est censé être mort en 1914 ou 1916 d'après l'histoire familiale, donc 3 ans et demi d'ancienneté, ça me paraît incompatible. À moins que ces chevrons étaient accordés aux militaires professionnels avant 1914?--Greguar 21 décembre 2006 à 15:41 (CET)[répondre]
Hélas ! mon érudition à ce sujet ne va pas jusque là... mais c'est possible. Les chevrons d'ancienneté (les brisques, d'où le terme de briscard) remontent aux armées d'ancien régime, et les condition d'attribution ont changé au cours de siècles. Par exemple, dans l'infanterie de ligne de la grande armée napoléonnienne, les chevrons d'ancienneté se portaient en laine écarlate sur le bras gauche, un pour dix ans de service, deux pour quinze ans et trois pour vingt ans. Cela dit, je ne sais pas s'il y avait des hommes de troupe « professionnels » avant la guerre de 1914... Mangouste35 21 décembre 2006 à 15:53 (CET)[répondre]
Sans vouloir abuser, est-ce que cette autre photo, prise probablement au moment où il a fait ses classes, permet de conclure qu'il était dans un régiment qui portait le numéro 24 au moment de l'entrée en guerre? Sachant qu'il doit y avoir quelques années entre les deux photos...--Greguar 21 décembre 2006 à 16:13 (CET)[répondre]
J'avoue mon ignorance... La chéchia laisse à penser qu'il s'agit d'une unité de l'armée d'Afrique, et les boutons semblent être -mais on ne distingue pas très bien- ceux de l'artillerie. En revanche, il n'y a pas les 3 chevrons caractéristiques des unités d'Afrique... Alors qu'en penser ? Peut-être un 24ème Groupe d'Artillerie d'Afrique ? Ils ont été fondés en 1910. Essaie de demander un webmestre de http://military-photos.com qui a un site très bien documenté sur la photographie militaire de 1850 à 1914. Il semble bien connaître le sujet. En tout cas l'énigme est intéressante Mangouste35 21 décembre 2006 à 16:51 (CET)[répondre]
Merci du conseil! J'ai interrogé le webmestre de ce site et il m'a répondu qu'il s'agit du 24ème régiment de Zouaves. L'ennui c'est que ce régiment n'existe pas en 1914. Donc soit la chéchia était là pour se marrer (mais je ne sais pas si c'est tellement le genre de l'Armée de prêter des chapeaux pour le côté humoristique!), et il faisait alors partie du 24è régiment d'infanterie, soit c'est au-delà de mes capacités de compréhension... En tout cas merci pour les informations. Juste une chose : mon père me demande d'où vous tenez l'information sur les chevrons d'ancienneté? Car il n'en a jamais entendu parlé.--Greguar
Je ne suis même pas certain qu'ait existé un 24è régiment de zouaves. J'ai cherché deci-delà et je n'ai rien trouvé. Il y a eu un 24ème régiment d'infanterie coloniale, créé en 1902, qui tenait sa garnison française à Perpignan et qui est devenu 24è régiment de tirailleurs coloniaux en 1923 puis de tirailleurs sénégalais en 1926, puis à nouveau 24è RIC en 1939. Mais je ne sais pas si les troupes coloniales portaient la chechia. En plus, mais les détails ne sont pas assez nets, on dirait bien des boutons d'artillerie.
Pour les chevrons d'ancienneté, après avoir bourlingué une vingtaine d'années dans les armées françaises, on apprend quelques bricoles. Je pense qu'on doit bien trouver quelques renseignement à leur propos sur le net Mangouste35 21 décembre 2006 à 19:22 (CET)[répondre]
Cela me semble peu problable que cette photo soit de 1914, pour la raison que le soldat en question porte une fourragère qui n'a été instituée que le 21 avril 1916 et officialisée en 1918. Quant à la décoration qu'il porte, n'est-ce-pas l'insigne des blessé institué le 11 décembre 1916 ? 82.242.236.21 28 juin 2007 à 16:32 (CEST)[répondre]

La section Anciens grades a été modifiée en supprimant l'allusion aux six étoiles portées par le général gouverneur militaire de Paris, avec une référence au site du service historique de la défense
(http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/04histoire/dossierdushd/grade/grade2.htm) qui consacre un paragraphe à ce sujet : Pour mémoire : la légende des six étoiles.


Je ne doute pas du bien fondé des conclusions de l'auteur de cet article cité en référence, mais on peut néanmoins s'interroger sur ses compétences. En effet, quelques lignes plus haut, on peut lire, à propos des "appellations" de général de corps d'armée et d'armée : « Ces appellations officielles durent jusqu'au décret du 6 juin 1939 qui les simplifie en "général de corps d'armée et général d'armée". Néanmoins, l'annuaire des officiers d'active a conservé, dans ses pages réservées aux généraux, l'habitude ancienne et indique : "général de division ayant rang et appellation de...". »

Or, la Loi 2005-270 24 Mars 2005, portant statut général des militaires, en son titre II, chapitre premier, article 19, 3°, stipule : « Les grades des officiers sont : ...
g) Général de brigade, général de brigade aérienne ou contre-amiral ;
h) Général de division, général de division aérienne ou vice-amiral
.
Les généraux de division, les généraux de division aérienne et les vice-amiraux peuvent respectivement recevoir rang et appellation de général de corps d'armée, de général de corps aérien ou de vice-amiral d'escadre et de général d'armée, de général d'armée aérienne ou d'amiral. »...

Si le rédacteur du service historique a mis autant de sérieux à se renseigner sur les hypothétiques 6 étoiles du gouverneur militaire de Paris qu'il en a mis à rechercher une loi de 2005, qui est loin d'être une simple habiude ancienne, on peut se demander s'il n'est pas nécessaire de pousser plus avant les investigations... Si quelque féru d'histoire et de textes réglementaires s'en sent le courage... Mangouste35 7 février 2007 à 21:35 (CET)[répondre]

Adjudants de cavalerie[modifier le code]

"Dans la Cavalerie, un tradition remontant à l'époque napoléonienne veut que les adjudant-chefs et adjudants soient appelés "mon lieutenant". En effet, pendant les batailles meurtrières des campagnes de la Grande Armée, les sous-officiers supérieurs prenaient le commandement lorsque tous les officiers subalternes étaient tués. Ils y ont gagné cette appellation" On dit aussi que Napoléon en les voyant les aurait pris pour des lieutenants: qqn peut donner une source pour l'origine ? Apokrif 19 mars 2007 à 22:20 (CET)[répondre]

Féminisation des grades[modifier le code]

Je ne suis pas d'accord avec les appellations concernant la féminisation des grades dans l'armée. En effet, ceux-ci sont définis dans le statut général des militaires (SGM). Or ce document est régi par la loi et ne comporte pas d'appellation de grade féminisé. Il convient d'appeler un Commandant féminin : Commandant.

Y a-t-il un texte de loi qui mentionne de manière systématique les deux vocables de "avocat" et "avocate" ?
Je ne pense pas, en l'occurrence, qu'il soit indispensable d'attendre un texte législatif qui précise cette féminisation alors qu'un autre impose de féminiser les noms de professions... Eric 15 juin 2007 à 21:19 (CEST)[répondre]

Précisions concernant la Marine Nationale[modifier le code]

Pour les modification commentée par « correction des informations erronées ---> voir discussion »

Un contributeur (MAURICE Daniel pour ne pas le nommer...) a modifié plusieurs parties du chapitre de la Marine. Il a fait plusieurs grosse erreurs, que j'ai corrigée.

J'en profite pour dire plusieurs choses concernant la Marine :

  1. On ne dit pas « militaire du rang », mais « équipage ».
  2. L'ancre des manchons portés par les OM, les OMS et les équipages ne sont pas identiques aux ancres présentes par les épaulettes des officiers.
  3. Le report de la date d'obligation de porter les manchons à ancres est bien dû à une mauvaise gestion des stocks (fait relaté par le SERMACOM de Toulon dans une note interne).
  4. « Monsieur l'aspirant » est une appellation utilisée par les majors, je l'ai personnellement et couramment entendue.
  5. Les abréviations des matelots de 1e et de 2e classe sont M01 et M02, avec un 0 (zéro), et non un O (lettre).

M01 MAROT (d) 6 avril 2008 à 14:02 (CEST)[répondre]

6 étoiles?[modifier le code]

N'y a-t-il pas (ou n'y a -t-il pas eu??) un général 6 étoiles, une distinction pour le gouverneur de Paris??

Il me semble, il faudra que je vérifie, mais ma mémoire de poisson rouge croit se souvenir de cela. Hatonjan (d) 3 août 2008 à 14:51 (CEST)[répondre]

Lire plus haut dans la discussion : « Anciens grades ». Mangouste35 [discuter] 3 août 2008 à 14:59 (CEST)[répondre]

Oui, j'ai bien lu la rubrique. Mais c'est le statu quo: qu'en est-il vraiment, Mangoute35? Avons-nous enfin une réponse définitive?

Aucune... On ne trouve rien là-dessus sinon des rumeurs qui se contredisent. Mangouste35 [discuter] 3 août 2008 à 18:27 (CEST)[répondre]

La sixième étoile est une légende et comme telle, elle est tenace. Elle tient probablement au besoin récurent de combler les vides. Si je suis là, c'est que je me suis aussi posé la question. Mais qu'y-a-t-il entre 5 et 7?

Un général 6 étoiles forcément! Puis je me suis posé la question dans autrement. Pourquoi 7 étoiles sur les manches d'un maréchal? Et voici la réponse qui crevait les yeux. Les étoiles de maréchal ne représentent pas des étoiles de plus dans le grade, elles sont un rappel du bâton de maréchal "parsemé d'étoiles" sur l'uniforme. C'est en quelque sorte la distinction qui prend la place entière du grade sachant que bien entendu, la liaison entre l'officier général et la distinction est très forte et pratiquement indispensable(mais pas nécessaire toutefois). Donc, bien qu'on voit des étoiles pour les deux militaires, on ne voit pas le même genre d'étoiles et une sixième étoile ne créerait pas de jonction entre général d'armée et maréchal, ça serait simplement une qualification supplémentaire. Quant au choix de 7 étoiles elle est sans doute purement esthétique. Il faudrait pouvoir consulter les archives de la conception de cette distinction.

Refonte de l'article[modifier le code]

L'article me semble trop lourd, trop porté vers l'uniformologie pour son intitulé. Ne pourrait-on penser à le découper, présenter sur la page la hiérarchie militaire simple et dans des sous-pages (Grades de la gendarmerie nationale (France), par exemple) les corps un peu plus "exotiques"? Cornelis (d) 5 décembre 2008 à 23:31 (CET)[répondre]

Je vois que ta proposition ne fait pas vraiment recette, mais elle me semble frappée au coin du bon sens. Cela éviterait notamment - mais je prêche pour ma paroisse - que la gendarmerie ne se trouve à chacun de mes reverts reléguée en fin de tableau alors qu'elle est en tête de l'ordre de bataille des armées. Plus sérieusement, l'article serait allégé si on le présentait comme tu le proposes. On pourrait faire une page par armée et une page - ou plusieurs - pour les services communs, sur lesquelles renverrait la page « Grades de l'armée française. »
Faut-il faire une demande de scission ?
  • Si oui : Peux-tu t'en charger ?
  • Si non : Vu le peu de réactions à ta suggestion, peux-tu te charger de la scission ? Je suis en wikislow et je consacre mes rares moments libres à d'autres articles, notamment à la création de fichiers svg qui me demandent pas mal de temps...
palé d'argent et d'azur Mangouste35 [discuter] 3 août 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]

Caporaux-chefs de l'armée de l'air[modifier le code]

Les SN1 peuvent servir jusqu'à 15 ans de service voir 18 ans exceptionnel, et les SN2 peuvent servir jusqu'à 25 de service et passer sergent à 15 ans de service sur volontariat et dossier pour finir sergent-chef en fin de carriere avec un statut de sous-officier sous-contrat. Etant caporal-chef SN2 je suis parfaitement au courant des directives me concernant.

GREGE33

Distinctions et insignes particuliers[modifier le code]

Je suis assez ignorant de la chose, et les distinctions ne sont pas des grades. Mais durant mon service national, j'étais scientifique du contingent, rattaché à l'infanterie et terminant avec le grade de caporal chef. Et, durant ces 12 mois, j'ai porté exclusivement, sur mon uniforme, les insignes distinctifs du scientifique (ce qui m'a valut plus d'une fois d'être confondu avec ... l’aumônier :-) je suppose qu'il y a d'autre catégories de militaires portant des insignes autre que ceux de leur grade. Une liste existe-t-elle ? Est-ce pertinent d'ajouter quelques lignes sur ce sujet dans cette page ? Benoitb (d) 21 janvier 2011 à 10:45 (CET)[répondre]

Les insignes dans l'armée, els brevets, les décorations, vaste sujet. Je ne sais pas si c'est souhaitablen, pour ma part je pourrai y contribuer à hauteur de mes connaissances. En tout cas une séparation par armée (voire arme pour l'AdT) sera AMHA nécessaire. Hatonjan (d) 21 janvier 2011 à 13:20 (CET)[répondre]

Aumôniers[modifier le code]

Dans l'article, au chapitre des aumôniers, je ne vois pas l'insigne des aumôniers protestants. La croix latine pour les catholiques, les tables de la loi pour les israélites, le croissant pour les musulmans, et normalement... la croix huguenote pour les protestants . Pourquoi l'insigne protestant n'est-il pas représenté ?

Primo : À l'époque de la rédaction de l'article, rien de distinguait les catholiques des protestants sur les fourreaux d'épaule.
Secundo : Actuellement, un insigne distinct a, en effet, été défini pour les aumôniers protestants, mais ce n'est pas la croix huguenote (pour des raisons de symbolique militaire, semble-t-il). C'est une croix latine évidée. La croix huguenote est employée sur leur insigne de spécialité (voir la page consacrée aux aumôniers militaires).
Tertio : Bien que défini depuis quelques années, la dotation de cet insigne n'a jamais été réalisée par le service du commissariat des armées. La grande majorité des aumôniers protestants continue à porter les fourreaux des aumôniers catholiques. les autres les ont fait confectionner à leurs frais.
Quarto : Il est bien de poser la question, mais, si le cœur vous en dit, vous pouvez créer les images ! :-)

Titre de l'article[modifier le code]

Je trouve que le titre de l'article est trop restrictif par rapport aux différents corps et statuts qui y sont présents. Je n'arrive pas à trouver une formule claire, simple et complète pouvant convenir. Me venant à l'esprit j'ai "Grades des forcées armées françaises" (mais bon on exclut encore les services communs) ou bien "Grades des militaires français (je trouve ça bof). Qu'en pensez-vous?--Dark Nark (discuter) 14 janvier 2015 à 22:41 (CET)[répondre]

Bonjour,
Je pense qu'il faut s'en tenir à « Grades des Forces armées françaises » ou laisser tel quel ; inutile de compliquer. Si on passe à « Forces armées », un certain nombre d’autres armées seront concernées ; il y en a déjà quelques unes qui ont franchi le pas : cf. USA, Canada, Maroc, Japon.
Cordialement. --Gkml (discuter) 15 janvier 2015 à 10:09 (CET)[répondre]
Bonsoir Hercule,
Pouvez-vous expliciter l'intérêt du renommage de cet article que vous venez d’effectuer ? Notamment en mettant le mot « liste » en tête, et en choisissant une formulation pas ou peu usitée.
Merci de votre réponse.
Cdt. --Gkml (discuter) 10 mars 2016 à 19:24 (CET)[répondre]
PS : (question-corollaire) un retour à l'ancien nom vous pose-t-il problème ? Cdt. --Gkml (discuter) 11 mars 2016 à 11:51 (CET)[répondre]
Bonjour,
Désolé, je n'avais pas vu que le titre de l'article faisait l'objet de discussions. Sinon je serai venu proposer un titre avant d'agir.
J'ai ajouté le mot « liste » car c'est une façon courante de nommer les listes sur Wikipédia (une liste n'est pas forcément une série d'items, cela peut être rédigé également).
Si j'ai estimé utile de renommer la page, c'est parce que les titres au pluriel sont à éviter : WP:TITRE, point 6. Renommer en Grade militaire français (j · ) ne me semblait pas pertinent, et peu explicite.
Cordialement,
-- Hercule (discuter) 11 mars 2016 à 15:59 (CET)[répondre]
Bonjour Hercule,
Le problème est que tous les grades des diverses armées sont nommés de cette façon.
Dans ces conditions, je propose le retour à l'ancien nom, ou au pire de passer à Liste des grades de l’Armée française.
Dans ce dernier cas, il conviendrait de renommer l’ensemble des listes de grades pour les autres nations. À optimiser avec quelques autres personnes que je pense concernées : Dark Nark, Julien1978 et Ludo29.
Cdt. --Gkml (discuter) 11 mars 2016 à 17:26 (CET)[répondre]
Le liste a tendance à me gêner. L'article va beaucoup plus loin qu'une liste.
Pour le reste du nom, je ne sais pas trop. C'est complexe, il faut considérer l'ensemble des structures qui portent des grades ainsi que celles qui ont disparu. Bref, je ne sais pas trop. Ludo 11 mars 2016 à 18:49 (CET)[répondre]
Bonjour Hercule,
Sachant que la norme est pour l'instant de nommer ces articles « Grades de , etc. », un retour à l'ancien nom vous pose-t-il problème, en attendant de trouver une solution globale ?
Et quand on lit WP:TITRE, point 6, et que l'on se rend compte que, du moins dans les titres de wikipédia, ce nom est toujours utilisé au pluriel, on ne contreviendrait donc pas à la règle.
J'observe aussi que les anglais (anglophones), les Allemands et les Italiens ont repris la même structure de titre. En outre, les Allemands procèdent comme cela pour les autres armées, cf. de:Dienstgrade der Bundeswehr, de:Dienstgrade der Wehrmachtetc.
Cdt. --Gkml (discuter) 13 mars 2016 à 16:39 (CET)[répondre]
Puisque j'ai raté la discussion avant mon renommage vous pouvez bien sûr l'annuler en attendant de trouver un nom qui convienne à tous.
Le point 6 des recommandations sur les titres ne s'entend pas « sur ce qui se fait sur les titres de Wikipédia », puisque cela définit les titres qui devraient exister sur Wikipédia. Sinon nous avons une référence circulaire. Si tous les titres sur les grades posent le même problème, alors oui, il faudrait s'occuper de toutes les autres pages également. Notez que les anglais nomment toutes leurs catégories au pluriel. On ne peut donc pas faire de comparaisons sur leurs titres car leurs choix sont différents des notres.
« Grade » n'est clairement pas un mot qui est « habituellement au pluriel » en français. Brut de fonderie on pourrait donc considérer le titre « Grade militaire français ». Mais je ne trouve pas que ce soit très heureux car la page ne traite pas d'un grade en particulier mais de tous. Comme il est exhaustif il dresse une liste (qui n'est pas un mot péjoratif sur Wikipédia, même si certains considèrent ce genre d'article avec dédain Émoticône). C'est pour cela que j'ai choisi Liste des grades militaires français (h · j · ). Il y aurait peut-être Hiérarchie militaire en France (j · ) (pour reprendre le nom de la première section) ?
-- Hercule (discuter) 14 mars 2016 à 10:02 (CET)[répondre]
Donc, en attendant d’avoir trouvé quelque chose qui convienne, je vais revenir à l'ancien nom.
Pour ce qui est du débat à organiser, première question : quelle est la meilleure manière de procéder ? seconde question : qui s'en occupe ?
Cdt. --Gkml (discuter) 14 mars 2016 à 17:11 (CET)[répondre]
Je ne crois pas qu'il faille formaliser plus que cela une discussion. Si on se met d'accord ici il suffira de renommer les autres pages après.
Que pensez-vous de Hiérarchie militaire en France (j · ) et Liste des grades militaires français (h · j · ) ?
-- Hercule (discuter) 15 mars 2016 à 09:37 (CET)[répondre]
Bonjour Hercule,
Je pense qu'il y aura un travail non négligeable de renommage, avec des palettes, etc.
Il vaut mieux selon moi informer les projets concernés ; je connais le Projet:Forces armées des États-Unis ; en connaissez-vous d’autres concernés par les forces armées ?
Cdt. --Gkml (discuter) 15 mars 2016 à 10:05 (CET)[répondre]
cc: Julien1978, Daniel*D, Ludo29 et Dark Nark
Bonjour. Pour bien comprendre, il est proposé de renommer Grades de l'Armée française en Liste des grades militaires français ? Cdlt. --Julien1978 (d.) 15 mars 2016 à 16:56 (CET)[répondre]
Bonsoir Julien1978, (voir supra). Cdt. --Gkml (discuter) 15 mars 2016 à 18:40 (CET)[répondre]
Bonjour à tous,
Je commence à bien connaitre Hercule, et je reconnais ici ta volonté récurrente de tout harmoniser. Je dis cela sans jugement. Sans pour autant prôner le bazar, je ne suis pas fan de l'harmonisation à outrance. Néanmoins, si on souhaite harmoniser ces noms d'articles, voici les contraintes qui me viennent à l'esprit :
  • certains pays ont divisé leurs forces armées en composante : cas de la France avec l'armée de l'air, l'armée de terre et la marine. C'est le cas le plus répandu, il me semble ;
  • certains pays n'ont pas fait ce choix. J'ai en tête la Suisse, pour laquelle tant les avions de chasse que les blindés sont dans l'armée suisse ;
  • dans ces articles, on peut avoir des hiérarchies militaires disparues : les officiers de la RDA par exemple avaient un système différent de ceux de l'actuelle Allemagne,
Ca implique de choisir un mécanisme qui puisse prendre en compte ces contraintes. Ludo 15 mars 2016 à 17:07 (CET)[répondre]
Bonjour à tous,
Le titre de cet article m'a toujours posé problème mais je n'ai jamais réussi à en trouver un qui me semble correct. Voici la vision que j'ai des différentes propositions:
  • Grades de l'Armée française (titre actuel) : utilise un terme du langage courant mais pas tout à fait exact ;
  • Grades des forces armées françaises : c'est le terme exact à utiliser en France. A adapter en fonction des pays ;
  • Grades des militaires françaises : terme aussi exact mais pas facile à appliquer aux sous-articles pour l'armée de terre, la marine, l'air et la gendarmerie ;
  • Liste des... : je trouve ce titre assez réducteur dans le sens où des efforts ont été entrepris pour passer d'une simple liste à un article avec des explications et des sources même si ce n'est pas toujours facile;
  • Hiérarchie militaire en France : je trouve que cela ferait un bon titre pour un article qui présenterai les mêmes grades mais en étant organisé non pas par corps/statut mais donnant toutes les équivalences existantes pour un certains grade.
Ma préférence va donc au deuxième titre (Grades des forces armées françaises). Ce titre permet de ne pas modifier le titre des sous-articles pour l'armée de terre, la marine, l'air et la gendarmerie qui gardent un cohérence vis-à-vis de ce titre.
Cdt.--Dark Nark (discuter) 15 mars 2016 à 18:44 (CET)[répondre]

┌───────────────────────────┘
Oui, j’approuve aussi l’idée de prudence nécessaire afin de tenir compte des spécificités de chaque article. Il n'est pas nécessairement pertinent de renommer les articles concernant les autres armées sans tenir compte de leurs spécificités, ni même du contenu des articles eux-mêmes qui sont loin d’être tous semblables au contenu de l'article sur les grades de l'armée française. Sinon sans avoir aucun problème avec les listes (j’ai écrit plusieurs articles sous cette dénomination), parmi les propositions présentes, la formulation Grades des forces armées françaises, me convient également (qui est d’ailleurs celui reprit dans le RI, et sans-être en malheureusement en adéquation avec le titre actuel, à revoir donc, lorsqu'un titre sera définitivement arrêté). Cdlt. --Julien1978 (d.) 15 mars 2016 à 18:58 (CET). PS: Au sujet du A majuscule dans le mot armée du titre Grades de l'Armée française, il existe une décision ou une discussion plus concluante que Wikipédia:Atelier typographique/octobre 2009#Capitalisation d'une armée nationale et Discussion Wikipédia:Conventions typographiques/Archive 3#Unités militaires ? --Julien1978 (d.) 15 mars 2016 à 19:25 (CET)[répondre]

Julien1978,
Voir WP:TYPO#UNITÉS-MILITAIRES. En fonction de ces conventions, ce serait donc « Grades des Forces armées françaises » s'il y avait cette évolution ; et selon ces mêmes conventions, c’est aussi, « Armée de terre », « Armée de l'air », « Marine nationale » et « Gendarmerie nationale » ; les autres unités sont en bas de casse (e.g. la 2e division blindée ; le 17e régiment d’infanterie coloniale ; la 1re armée ; la gendarmerie au sens neutre ne désignant pas l'institution nationale), sauf la « Légion étrangère », la « Garde républicaine » qui gardent leurs majuscules initiales, s'agissant de « noms des organismes et institutions d’État à caractère unique — c’est-à-dire dont la compétence s’étend à tout le territoire d’un pays — [qui] sont de véritables noms propres ». Dans le même ordre d’idée, toujours repris des WP:TYPO, on a aussi : « l’État-Major général, le Grand État-Major » (dès lors qu'ils ont une dimension nationale ou supranationale unique, comme au cours de la Première Guerre mondiale, e.g.) « mais l’état-major de la 1re armée, l’état-major de la 5e armée, le Grand Quartier général » (on retrouve ce dernier terme au cours de la Première Guerre mondiale, sauf erreur) ; c’est pour ces raisons que l'on a « l'État-Major des armées », « l'état-major de l'Armée de terre », « l'état-major de la Marine nationale », etc., ces derniers états-majors n'ayant plus le caractère unique du premier.
Cdt. --Gkml (discuter) 16 mars 2016 à 06:05 (CET)[répondre]
Justement avons-nous en dehors des deux liens que j'ai mentionnés, une discussion plus concluante validant ce résultat ? En particulier sur la question du A majuscule, car je n'ai pas l'impression que dans les discussions que j'ai lues, il y ait véritablement un consensus pour aboutir à ce résultat. Je n'ai pas d'avis sur le sujet, mais d'un point de vue de la légitimité communautaire, j'aimerais bien comprendre, comment on est arrivé à cette décision. Cdlt. --Julien1978 (d.) 16 mars 2016 à 08:23 (CET)[répondre]
Il suffit de lire le LRTUIN qui est mis en référence aux § « Organismes d’État » et « Unités militaires ».
Comme certains termes n'y étaient pas tous présents (dans le LRTUIN) à proprement parler, ils y ont été ajoutés par Daniel*D qui, s'il a un peu plus de temps que moi ce matin, voudra bien rappeler où la discussion a eu lieu : de mémoire, il y a deux ans, c’était dans Major général de la Marine, à vérifier ; oui, il y a en a une partie là. Peut-être qu'il doit y avoir aussi un morceau de discussion plus récent dans les WP:TYPO ? Il y a toujours quelques récalcitrants pour les termes ajoutés, mais il faut savoir s'arrêter un jour et, en tout cas, ne pas prendre en référence les sites Internet gouvernementaux qui n'ont aucune idée de ce qu'est la typographie : chaque fonctionnaire rédacteur fait un peu ce qu'il veut et sans aucun contrôle ; parfois c'est le « niveau zéro de la typo. ».
En tout cas, les exemples ajoutés, en plus de ceux du LRTUIN, respectent l'esprit de cet ouvrage de référence.
Cdt. --Gkml (discuter) 16 mars 2016 à 08:45 (CET)[répondre]
Notification Gkml : merci pour le lien Émoticône sourire. --Julien1978 (d.) 16 mars 2016 à 09:45 (CET)[répondre]
Je confirme ce qu'écrit ci-dessus Gkml, aussi bien sur les majuscules que sur les discussions relatives, dont celle-ci me semble effectivement être la dernière en date. Daniel*D, 16 mars 2016 à 11:21 (CET)[répondre]
Et, pour la paternité du rétablissement/complément des exemples → [3], tout à fait conforme à la discussion citée. Cdlt, Daniel*D, 16 mars 2016 à 11:33 (CET)[répondre]
Plus la rédaction d'origine [4], avant les contestations/polémiques qui suivirent. Daniel*D, 16 mars 2016 à 11:45 (CET)[répondre]
Notification Daniel*D : merci également d'avoir pris le temps de me répondre Émoticône sourire. Cdlt. --Julien1978 (d.) 16 mars 2016 à 12:21 (CET)[répondre]
Notification Julien1978, pas de quoi. Les Allemands n'ont pas ce problème de majuscules. Mais, sur Wikipédia en français on s'évertue à mettre les majuscules n'importe comment et en italique tout ce qui semble « étranger », là aussi il y a du travail. Je n'ai jamais lu, en dix ans sur WP, un seul article sans erreur de typo. Cdlt, Daniel*D, 16 mars 2016 à 12:32 (CET)[répondre]

Appellation du titre de la page[modifier le code]

Bonjour, le législateur a introduit depuis quelques années, la notion de Forces armées et formations rattachées en remplacement d'Armées, Directions et Services (ADS). Cela serait la meilleure option pour mieux préciser le titre. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 185.24.187.193 (discuter), le 17 mai 2020 à 12:49 (CEST)[répondre]

Distinction / Dignité[modifier le code]

J'ai appris lors de mon SNA en 90 que "1re classe" n'est pas un grade, mais une "distinction" ; que "maréchal" n'est ni un grade, ni une distinction, mais une "dignité". L'article affirmant autre chose, y a-t-il eu des changements réglementaires ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Ccordot (discuter), le 6 décembre 2021 à 10:26 (CET)[répondre]

Appellation des femmes militaires[modifier le code]

On dit souvent que dans "mon lieutenant", "mon" est l'abréviation de "monsieur", et que pour cette raison, on ne saurait donner du "mon lieutenant" à une femme. Certes. Mais à "monsieur" correspond "madame" : a-t-on jugé trop familière l’appellation de "ma lieutenant" (ou "ma lieutenante") ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Ccordot (discuter), le 6 décembre 2021 à 10:28 (CET)[répondre]

Les nouveaux sergents-chefs BM2[modifier le code]

4 Chevrons, on en parle ? Nerbo [blabla] 22 décembre 2022 à 23:39 (CET)[répondre]

Ce n'est pas un grade mais simplement une distinctions créée par l'armée de terre. C'est présent dans l'article concernant l'armée de terre. Dark Nark (discuter) 23 décembre 2022 à 08:10 (CET)[répondre]